Parmi les rendez-vous annuels incontournables, il y a le « dialogue de gestion », en juin, avec les facultés, les instituts et les écoles, et à l’automne avec les services. Ces rencontres constituent un moment important de la vie de notre université. L’équipe de présidence, avec la direction générale, reçoit les équipes dirigeantes des composantes pour faire le bilan de l’année universitaire et étudier les axes stratégiques des composantes. S’il s’agit de préparer le budget et la campagne d’emplois de l’année 2018, on ne perd pas de vue non plus l’importance d’inscrire les actions des uns et des autres dans la durée. Cet exercice est tout sauf formel. Outre qu’il permet une meilleure connaissance réciproque, qu’il met en œuvre concrètement et autant que possible la dynamique et les projets propres de chacune des composantes, le dialogue de gestion permet surtout de construire une politique d’établissement partagée. À ce titre, les deux mots sont importants.
Dialogue, d’abord. Il s’agit en effet de s’écouter mutuellement et de comprendre les préoccupations des uns et des autres, de prendre conscience de leurs difficultés et de discerner les pistes qui permettent de mettre en œuvre des stratégies nouvelles en formation, recherche et insertion professionnelle.
Gestion, ensuite. Car il nous faut ensemble gérer le bien commun que représentent les subventions de l’État, les ressources propres, les leviers tels que l’Idex. Gérer n’est pas un exercice subalterne à la noblesse de la mission d’enseignement et de recherche. C’est prendre de plus en plus le chemin de l’autonomie. Cet exercice mobilise l’équipe de présidence et la direction des services pendant plus d’un mois. Mais c’est le prix de la confiance sur laquelle nous construisons. Une vraie politique d’établissement sera toujours le fruit d’un dialogue franc et sincère.
Michel Deneken,
président de l'Université de Strasbourg
Après les débats en conseil académique sur la charte de qualité interne*, l’Université de Strasbourg confirme son ambition d’agir en faveur de l’accueil et de l’accompagnement de ses étudiants. Une dynamique entamée dès 2015, avec la labellisation Marianne de plusieurs structures, portée par une volonté politique forte et emblématique des valeurs de l’université.
« Simplifier les démarches dans un environnement accueillant », « Contribuer à la réussite des étudiants », « Faire vivre la communauté universitaire », « Piloter la démarche qualité » : voici les quatre axes structurants de la charte de qualité interne de l’Université de Strasbourg, validée mardi 23 mai en conseil académique1. Chacun est décliné en engagements, quatorze au total. Volontairement synthétique – une page, préambule compris – elle concerne la « qualité de l’accueil et de l’accompagnement des étudiants ».
« En élaborant cette charte, nous avons souhaité aller au-delà du périmètre qu’offre la labellisation Marianne », avance Mathieu Schneider, vice-président Culture, sciences en société, porteur politique du dossier, aux côtés de Nathalie Vincent, directrice générale adjointe. Voilà près de deux ans que l’université s’est engagée dans cette dynamique. Première structure à afficher le label Marianne pour la qualité de son accueil : le Service de la vie universitaire (SVU). Dix autres ont suivi2. « Sauf que son périmètre est restreint : le label est délivré aux services et opérateurs de l’État sur le seul et unique critère de l’accueil, poursuit l’élu. Nous ne sommes pas un guichet de délivrance des diplômes ! D’où l’importance de se doter d’un outil propre, prenant en compte les spécificités de l'université, ses publics et ses missions. » Ses valeurs, aussi : courtoisie, écoute et respect de l’autre, sans discrimination.
Partant de ce constat, des entretiens ont été menés tout au long de l’année universitaire, d’abord avec l’équipe de présidence, puis avec 70 acteurs impliqués dans la vie de l’université à tous ses échelons (personnel d’accueil, doyen et étudiants). « La charte a été rédigée à partir des éléments récurrents évoqués », explique Dorothée Hoenen, qualiticienne à l’Unistra. Tout au long de la procédure, la chargée de projet a été accompagnée par le bureau Strasbourg conseil et l’organisme certificateur Veritas. « Il était important, dans un chantier aussi ambitieux, de bénéficier d’un regard extérieur », précise Mathieu Schneider.
Processus d’amélioration continue
Même si elle doit bénéficier aux étudiants et aux doctorants, la charte implique l’ensemble de la communauté universitaire. « On en espère un processus d’amélioration continue, à tous les niveaux », poursuit Dorothée Hoenen.
Pour l’heure, si un consensus s’est exprimé en conseil académique sur les objectifs de la charte, conforme à la politique d’établissement, des crispations se sont fait sentir quant aux modalités d’évaluation de la progression de la qualité. La présence d’indicateurs fait notamment craindre un contrôle accru. Mathieu Schneider contre l’argument : « Des indicateurs et des évaluations, on nous en impose déjà de l’extérieur (Haut conseil de l’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur ; Cour des comptes ; Inspection générale de l’administration, de l’éducation nationale et de la recherche). Pourquoi ne se doterait-on pas nous-mêmes des indicateurs que nous estimons pertinents par rapport à notre propre politique et à nos propres ambitions ? »
Pendant de la charte, publique, un document de mise en œuvre réservé à l’interne est en cours d’élaboration. « Objectifs, moyens et éléments de preuves y seront recensés, explique Dorothée Hoenen. Cela commence par un état des lieux de l’existant. »
Deux ans d’expérimentation
« Ce document sera construit et ajusté avec les services et les composantes, et la charte fera l’objet d’un déploiement expérimental de deux ans, complète Mathieu Schneider. Rien n’est gravé dans le marbre ! »
La dizaine de qualiticiens de l’université et les référents qualité (lire encadré) des structures impliquées dans la démarche Marianne seront en première ligne pour le déploiement de la charte. « L’enjeu est de faire progresser la culture qualité, déjà bien présente », ajoute Dorothée Hoenen.
Des services seront davantage concernés que d’autres dans la réalisation de certains engagements : c’est le cas de la Direction des relations internationales pour l’engagement 6 (« Développer l’internationalisation des parcours et la mobilité étudiante ») ou de la mission Handicap pour l’engagement 9 (« Tenir compte de la diversité des publics »). Il faudra donc construire, avec les services et les composantes, un contrat individualisé qui les mobilisera prioritairement sur certains engagements, en fonction de leurs missions – pour les services – ou de leurs choix politiques – pour les composantes. De manière générale, l’application de la charte demandera à prioriser les tâches et pourra nécessiter d’accompagner la montée en compétences des personnels.
Les deux démarches n’étant pas exclusives, la certification Marianne se poursuit en parallèle, pour toutes les structures qui y sont engagées.
Quant à la charte, une fois augmentée de ses indicateurs, elle sera soumise au conseil d’administration, à l’automne. À l’issue des deux ans d'expérimentation, elle pourrait elle aussi passer l’épreuve de la labellisation.
Elsa Collobert
* Bénéficie du soutien de l’Initiative d’excellence, dans le cadre des Investissements d’avenir
1Réunion de la Commission de la formation et de la vie universitaire (CFVU) et de la Commission de la recherche (CR)
Grégory Brun, chargé d’orientation et d’insertion professionnelle (Espace avenir) et référent qualité
« Il y a un an, mon service s'est engagé dans une démarche qualité basée sur le référentiel Marianne. Un comité de pilotage interne à Espace avenir a été formé, se réunissant régulièrement afin d’assurer un suivi. Le Service d’aide au pilotage est venu en immersion une demi-journée dans nos locaux, nous permettant d'établir une auto-évaluation de nos pratiques puis de mettre en place un plan d’actions d'amélioration, à plus ou moins courte échéance. Tous les personnels d’Espace avenir ont été associés à la réflexion, notamment à travers trois réunions durant lesquelles nos priorités ont été définies. À l’issue, nous avons mis en place plusieurs choses, comme un espace d’attente confortable, une zone de confidentialité bien matérialisée par un marquage au sol, des plantes et des paravents pour rendre l’accueil plus chaleureux, une enquête satisfaction dont les résultats sont affichés dans nos locaux et sur notre page internet. Cette démarche nous a permis également de mener une réflexion approfondie sur certains points tel que l'accueil du public ne parlant pas français : nous envisageons de nous former collectivement à l’anglais. Points d’orgues de la démarche : l’audit interne en avril, avant que l’audit externe nous certifie ou non Marianne, le 13 juin prochain.
Je mentirais si je disais que l’implication dans cette démarche ne demande pas de temps ni d’énergie. Son succès tient aussi à l’implication forte de la direction et de l’ensemble des personnels. Finalement, la charte Marianne est un outil supplémentaire qui vient formaliser des pratiques de qualité existantes, nous pousse à nous interroger sur nos process pour nous améliorer sans cesse. »
Une équipe franco-allemande organise le Festival Eucor, pour célébrer les 20 ans du Tour Eucor. Ce samedi 10 juin, les étudiants des cinq universités membres d’Eucor – Le Campus européen se retrouvent pour la première fois à Karlsruhe pour faire la fête ensemble.
Trois pays, cinq universités, un festival : le 10 juin, un festival ouvert à tous les étudiants des universités membres du campus européen se déroulera à l’Institut de technologie de Karlsruhe (KIT). Ce festival est organisé par Anna David et Lauriane Wolf, qui effectuent actuellement, dans le cadre de l’Office franco-allemand pour la jeunesse, leur volontariat à l’Université de Strasbourg et au KIT. L’Initiative franco-allemande du KIT, le conseil des étudiants d’Eucor, des étudiants ainsi que des collaborateurs et collaboratrices des cinq universités leur prêtent main forte.
« Avec ce festival, nous voulons faire mieux comprendre l’idée du campus européen aux étudiants, en dehors du programme de formation », déclare Anna David. « Nous voulons que les gens prennent du plaisir, se rencontrent et voient ce que le campus européen peut nous apporter à tous », ajoute Lauriane Wolf.
À Strasbourg en 2018
Dans le cadre de leur tandem franco-allemand, nos deux organisatrices ont mis sur pied un vaste programme : sept groupes de musique, venant de cinq villes et trois pays, se produiront au cours du festival. Toutes les villes d’Eucor – Bâle, Freiburg, Mulhouse, Karlsruhe et Strasbourg – sont représentées par au moins un groupe d’étudiants. « Indie pop, jazz, groove, punk rock : il y en aura pour tous les goûts », se réjouit Lauriane Wolf. « Et naturellement, il y aura aussi suffisamment de boissons et de food trucks », nous explique Anna David.
« Nous espérons que ce festival sera l’occasion de créer un bel échange, que nous allons bien nous amuser tous ensemble et que peut-être des amitiés se noueront », soulignent nos deux complices. Même si leur volontariat se termine peu après la fin du festival, le travail d’Anna David et Lauriane Wolf restera utile pour les étudiants du campus européen. Il est en effet prévu d’organiser une nouvelle édition du festival à Strasbourg en 2018. Les successeurs de nos deux volontaires devraient poursuivre l’initiative.
Le festival a lieu le 10 juin 2017, de 17 à 23 heures, sur la Roter Platz, à côté du Arbeitskreis Kultur und Kommunikation, près de l’Institut de technologie de Karlsruhe (KIT), Paulckeplatz, à Karlsruhe et s’adresse à l’ensemble des étudiants des universités membres du campus européen. Le transport est assuré : des navettes gratuites sont à la disposition depuis Fribourg.
Nathalie Schnabel
La réhabilitation de ce bâtiment, très convoité car immense (20 000 m2) et situé en plein cœur de la Krutenau, se dessine. L’Université de Strasbourg, à travers son Opération campus, est partie prenante de ce projet de création d’un espace d’un genre nouveau, mêlant enseignement transdisciplinaire, auberge de jeunesse et structures de l’économie sociale et solidaire.
Fière construction aux murs de grès et aux ouvertures bardées de fer forgé, la Manufacture des tabacs va sortir de sa longue léthargie. Inoccupé depuis 2010, le bâtiment qui occupe l'espace au croisement de quatre rues 1, à la destinée maintes fois évoquée et redessinée ces dernières années, entre dans une phase de réhabilitation concrète avec le choix récent du lauréat du projet architectural. Vurpas Architectes, associé à AIA Ingénierie (bureau d’étude et environnement), à EAI (acousticien) et à l’Atelier des créations fantasques (signalétique) a été retenu pour son adéquation aux besoins et son respect de l’esprit des lieux (lire encadré).
L'idée : rassembler sous un même toit enseignement et recherche expérimentale, mais aussi auberge de jeunesse, restaurant, épicerie... « Cette partie du projet, pilotée par la Société d'aménagement de la région de Strasbourg (Sers), voulue comme "lieu de vie" ouvert sur le quartier, est en train d'être affinée et devrait être ficelée pour la fin de l’année », assure Julien Voillemin, directeur de la mission Campus de l'Université de Strasbourg. L'appel à projets lancé par la Ville à travers la Sers a pour mot d'ordre de favoriser l'économie sociale et solidaire et les interactions (entre partenaires, avec le quartier, etc.). En d'autres termes : « Le projet sera tout sauf une juxtaposition d'entités vivant l'une à côté de l'autre ».
Pôle Géosciences, eau, environnement et ingénierie
C'est dans la même logique qu'a été pensée la partie liée à la connaissance : soit la moitié du bâtiment (10 000 m2) dévolue aux activités d'enseignement de l'École et observatoire des sciences de la Terre (Eost), rassemblées avec celles de l'École nationale du génie de l'eau et de l'environnement de Strasbourg (Engees) au sein d'un pôle G2EI (Géosciences, eau, environnement et ingénierie). Foyer des étudiants, cafétéria, salles de classes, amphithéâtres et bibliothèque seront mutualisés, « ouvrant la voie pour imaginer des travaux en commun, déjà permise par la proximité des domaines des deux structures. La Haute école des arts du Rhin (Hear) voisine, associée à l'université à travers le contrat de site-Alsace (tout comme l'Engees) complète le trio, et est associée à la réflexion autour du travail en synergie.
« Le pôle G2EI est un projet de longue haleine qui donne un nouvel élan à nos projets communs avec l’Eost », se réjouit Jean-François Quéré, directeur de l’Engees. « Ce sera un changement d’ère pour nos étudiants, qui sont aujourd’hui dans des locaux obsolètes et qui vont intégrer des locaux historiques mis aux normes les plus modernes », complète Frédéric Masson, directeur de l’Eost.
Ouverture symbolique et physique
Enjeu important de la réfection, symbolique de son esprit : ménager des ouvertures dans le bâtiment, conçu comme une quasi-forteresse à une époque où le tabac était monopole d'État. Outre l’entrée rue de la Krutenau, qui sera conservée, le mur d'enceinte fermant la construction le long de la rue de la Manufacture des Tabac cèdera la place à une entrée ouverte sur la partie universitaire du site, créant davantage de continuité avec le campus Esplanade. À cet endroit sera construite une halle technologique, annexe destinée à abriter, entre autres, les imposants simulateurs d'inondations de l’Institut de mécanique des fluides et des solides (ICube), aujourd'hui situés rue Boussingault (à proximité de l'Orangerie).
Quant à la vocation des bâtiments libérés par ce rapatriement commun : l'Engees libère ses locaux du quai Koch, propriété de la Ville ; l'Eost concentre ses activités de recherche dans le bâtiment Descartes (campus Esplanade), libérant ses locaux de la rue Blessig.
Les premiers occupants des lieux, 1 000 étudiants et 200 personnels et enseignants-chercheurs, les intègreront à l'horizon 2020. Après une phase d'étude qui vient tout juste de commencer, les travaux doivent débuter en 2019. Coût total : 31,4 millions, entre acquisition du bâtiment (5 M€) et opération de rénovation (26,4 M€), financée par l’État à travers l’Opération campus (11,4 M€), la Région Grand Est (7 M€), l’Eurométropole (7 M€) et l’Engees (1 M€).
E. C.
Une histoire qui ne partira pas en fumée
Construit dans les années 1850, le bâtiment a d'abord été propriété d'Imperial Tobacco puis de la Seita (Service d’exploitation industrielle des tabacs et allumettes). Il est aujourd'hui propriété de la Société d'aménagement de la région de Strasbourg (Sers) et la vocation de l'espace très prisé qu'il occupe au cœur de la Krutenau a fait l'objet d'âpres négociations. Son inscription très récente (2016) à l'inventaire des monuments historiques le sauve non seulement de la destruction, mais intègre aussi dans le projet de réfection la conservation de la vocation initiale industrielle des lieux. Certains éléments comme les énormes gaines d'humidification des salles - essentielles pour éviter le dessèchement du tabac - seront déposés lors des travaux, mais les structures d'acier des salles du rez-de-chaussée, de 6 mètres de hauteur sous plafond, seront conservées. Le choix a aussi été fait de conserver le bâtiment situé à l'intérieur de la cour, construit suite aux destructions de la Seconde Guerre mondiale.
Le 23 juin prochain, les docteurs de l’Université de Strasbourg de la promotion 2016 seront à l’honneur. 21 d’entre eux se verront remettre un prix de thèse, destiné à valoriser et faire connaître les auteurs des travaux les plus remarquables soutenus au cours de l'année 2016.
Comme chaque année, l’Université de Strasbourg organise une cérémonie de remise des diplômes de doctorat au Palais universitaire. Le président de l'université et la vice-présidente Recherche et formation doctorale remettront aux docteurs 2016 leur diplôme, en présence des directeurs des écoles doctorales et du parrain de la promotion, Philippe Horvath. Cadre scientifique chez DuPont, Philippe Horvath est diplômé de l'Université Louis-Pasteur (doctorat en biologie cellulaire et moléculaire obtenu en 2000).
Cette journée sera l'occasion de rassembler les docteurs, leurs familles et leurs directeurs de thèse, pour une célébration officielle et festive.
Les prix de thèse seront remis le matin par Jean-Pierre Tempé, président de la Société des amis des universités de l’académie de Strasbourg (treize lauréats), Catherine Florentz, première vice-présidente et vice-présidente Recherche et formation doctorale de l’Université de Strasbourg (cinq lauréats), et Régis Bello, président de la Fondation Université de Strasbourg (trois lauréats).
La boîte à outils s’enrichit d’une charte à destination du web pour permettre à chacun de décliner son site dans les règles de l’art. Le portail sera le premier des médias de l'université à faire peau neuve, à l’automne 2017.
Fruit d’une collaboration entre la cellule web de la Direction des usages numériques (DUN) et l’équipe en charge du déploiement du langage visuel de l’université, cette charte web permettra à chacun d’appréhender les grands principes à mettre en œuvre lors de la réalisation des sites web de l’écosystème unistra.fr.
Les premières spécifications sont détaillées sur la boîte à outils. On y retrouve les principales indications pour habiller, mais aussi structurer un site aux couleurs du langage visuel, de l’en-tête (header) au pied de page (footer), en passant par l’organisation des contenus et l’usage des polices et des couleurs.
Cette charte promeut un système d'affichage responsive (ou adaptatif, ce qui signifie que ses dimensions s'adaptent automatiquement à la résolution de l'écran qui l'affiche). Il est ainsi parfaitement lisible sur grand écran, tablette ou encore téléphone mobile.
Les sites du Groupement d’intérêt scientifique en Sciences des religions et théologies à Strasbourg (GIS Scirthes) et de Télécom physique Strasbourg, ont été les premiers à décliner le nouveau langage visuel. Ils illustrent de manière concrète les principes de la charte graphique en préfiguration.
Envoyez votre info à medias@unistra.fr avant le mardi 20 juin midi pour une parution le vendredi 23 juin 2017. Consultez les dates des prochains numéros.